Twitter a délibérément freiné les rivaux et les médias critiqués par Elon Musk

Il semble qu'une polémique soit en train de prendre forme autour de X.com (Twitter). Une récente investigation du Washington Post a levé le voile sur des modifications surprenantes dans le fonctionnement de la plateforme, provoquant un ralentissement volontaire des liens externes.

Quand X.com met des bâtons dans les roues

A priori, les plates-formes comme Facebook, Instagram, ou Bluesky ont été touchées. Il semblerait aussi que des médias tels que Reuters ou le New York Times soient affectés par cette manœuvre. Le fait que ces sites aient été critiqués ou moqués par Elon Musk dans le passé, prête à interrogation concernant le choix précis des sites ralentis. Si cette théorie venait à être confirmée, cela soulèverait des questions troublantes sur les rivalités entre Zuckerberg et Musk.

La réaction incisive de Substack

De son côté, Substack a exprimé une certaine indignation face à cet état de fait. Une réaction justifiée, étant donné la menace réelle que représentent les agissements capricieux de plates-formes moins fiables pour la pérennité des éditzeurs. Cela démontre aussi que des entreprises émergentes comme Substack Notes, en concurrence directe avec Twitter, peuvent avoir à supporter des attitudes hostiles de la part des géants des médias sociaux.

D'autres changements inquiétants

Mentionnons également que la plateforme X.com est passée sous le microscope du Washington Post révèle des transformations considérables dans son algorithme. Le processus de contrôle des posts prioritaires semble désormais influencer de façon significative la visibilité des utilisateurs. En conséquence, toute mention de concurrents à X.com ou de liens externes à la plateforme pourrait baisser la visibilité des publications. Des actions qui sembleraient être en contradiction avec les principes mêmes du web.